Sunday 'ill be gone.



i'm gonna run
i'm gonna win
i'm gonna do what i need to do
'cause it's time to be what I need to be
it's time to be what i need to be
you can't tell me what to do anymore
you can't tell me what to do anymore
now i'm free
now i'm free
now i'm free
oh yeah
-Free by V.A.S.T-






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Tick tock tick tock tick tock.
Ce bruit, oppressant, nous a tous déjà énervé un moment ou l'autre. Répétitif, strident, il nous rappelle toujours qu'a n'importe quel moment, il y a une heure. Et savoir quel heure il est, c'est en être prisonnier. Passez une journée sans regarder une seule et unique fois l'heure. Si vous y mettez du votre, vous remarquerez déjà qu'en voulant éviter le contact visuel avec tout ce qui a un rapport avec l'heure, vous devriez vous cacher. L'heure est partout, il nous domine. Tout fonctionne en fonction de l'heure. La vie dépends de l'heure, elle est omniprésente. Pour voir quelqu'un, il faut une heure. Pour acheter et consommer, il faut une heure. Pour baiser, il faut une durée. On ne choisit pas notre temps, le temps lui même nous choisit. C'est pour cela que si vous le fuyez, il vous pourchassera. C'est normal après tout, on grandit dedans. on naît, et on a une heure. Difficile de s'en échapper.
Tick tock, tick tock.
Il se leva, et au lieu de se frayer un chemin parmi tout les autres êtres gisant sur le sol, il balaya tout sur son chemin d'un coup de pied. Tick tock, il prit le réveil entre ses mains, et comme pour se libéré intérieurement, il le fracassa contre le mur, de son poing.
Un fou? Non. Un visionnaire? pas du tout. Un simple réaliste. Un simple réaliste qui en as marre de dépendre d'autre chose que lui même. Un simple réaliste qui prône la liberté a l’état pure.
Un des êtres se leva a son tour, main dans la masse capillaire apocalyptique, les yeux a moitié couverts, essayant de discerner qui avait réalisé ce carnage. De son autre main il redressa ce qui couvrait son sexe.
"P'tain, qu'est-ce qu'il se passe?"
L'autre ne répondait pas. Il se contentait de sortir une cigarette et de l’allumer. il inhala un grand amas, et le recracha. il s’était affalé sur le canapé, la tête en l'air, laissant son corps nu a la vue de tous. Assis comme un conquérant, comme si rien ne pouvait l'atteindre.
Celui qui venait de se lever regarda autour de lui, avec beaucoup de mal. Il se décida a imiter l'autre présence en s'appropriant lui même sa clope. En recrachant sa première bouffée, il était mieux réveillé. C'est que la qu'il remarqua la trace rouge sur le mur. Une trace rouge sombre sur un mur rouge pale. En baissant la tête, il remarqua le réveil, détruit, recouvert lui aussi d'une trace rouge. Sachant a qui il avait a faire, il se retourna, et compris.
" Mec, pourquoi t'as fait ça?"
Sans bouger de la tête, en continuant a fixer le plafond, l'autre lui répondit:
"Fait quoi?
- Pourquoi t'as niqué le réveil? Tu vois pas qu'en plus tu t'es niqué la main?
- Ramène moi un bandage, et je t'expliquerais, comme d'habitude.
- Comme d’habitude, peut-être, mais tu as tellement souvent des attitudes tellement...
- Ramène ce putain de bandage."
Il s’exécuta. Il fouilla dans la cuisine qu'il connaissait si bien, même si il était pas chez lui. Il avait l'habitude de vivre dans cet appartement, qui officiellement deux personnes y habitent, mais officieusement c'est trois. A force d'y passer sa vie la bas, il considérait l'endroit comme sa propre maison, et il dormait avec la colocataire de celui qui avait besoin des bandages.
Il retourna dans la chambre ou les deux habitants étaient. L'homme était toujours sur son canapé, la tête fixant le plafond, clope au bec, tandis que la jeune femme elle gisait dans la le lit.
Il se rapprocha de son comparse blessé, et s'agenouilla pour le soigner:
"Ça te plais de faire ça?
- Euh, pas vraiment, mais si personne ne le fait, ce serait mauv...
- Ça te plais de faire ça oui ou non?
- euh, non
- ben le fait pas merde. je t'apprends quoi depuis une éternité? Dis ce que tu pense, fais ce que tu sens, mais bordel arrête de toujours m’obéir!"


( suite bientot )



Visual Audio Sensory Theater




Just look me into my eyes.
Look at me.
I dare you to say that i'm wrong.
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Last night I had a dream about you
In this dream I'm dancing right beside you
And it looked like everyone was having fun
the kind of feeling I've waited so long

Don't stop come a little closer
As we jam the rythm gets stronger
There's nothing wrong with just a little little fun
We were dancing all night long

The time is right to put my arms around you
You're feeling right
You wrap your arms around too
But suddenly I feel the shining sun
Before I knew it this dream was all gone

Ooh I don't know what to do
About this dream and you
I wish this dream comes true

Ooh I don't know what to do
About this dream and you
We'll make this dream come true

Why don't you play the game ?
Why don't you play the game ?
Daft Punk - Digital Love










Comme le décrit si bien cette musique, il nous arrive a tous d'avoir des rêves de ce que l'ont pourrait qualifier de "niais". Mais qu'est-ce que la niaiserie? Personnellement je trouve que c'est un mot qu'on a crée par ego pour rabaisser une chose qui nous arrive a tous, mais que l'ont assume pas. pourtant on le veut, au plus profond de nous, ressentir cela.
Apres tout, n'est-ce pas parfait? Un simple acte de la personne avec qui on possède certains sentiments pour nous faire sourire. C'est facile et très souvent gratuit.

Comme le décrit si bien ce morceau de Daft Punk, il m'est arrivé d'avoir un certain rêve, ou je partageais une scène complètement banale avec une certaine personne, dont le réveil fut tout simplement construit d'une grande déception.

Une simple scène, ou il était simplement sur le martela qui lui sert de lit, allongé sur le dos, l'ordinateur a coté de lui, une cigarette dans ma main, et elle a coté, avec pour seul moyen de recouvrir son habit naturiste un drap. Pour seul moyen de se couvrir, il porte un short déboutonné qui couvre a moitié son sexe. Il fait noir, et dans cette noirceur on ne voyait que la lumière rouge de la cigarette qui se consumait. La seule chose qu'on entendait, c’était leur respiration. De ses yeux rouges il fixait la fumée qui se dégageait de ce tube de plaisirs toxiques. Il fixait cette fumée, mais ne pensait qu'a ces mots:
This is the prime time of my life.
Elle gesticula, et lui passa son bras gauche sous le corps de celle qui l'accompagnait en ce moment. Il la tenait, comme un geste pour la protéger, ou plutôt comme pour réaliser qu'elle est bien la. Recrachant le dernier amas de fumée du tube, il écrasa cet objet dans son cendrier pour finalement connecter son regard a la sienne. Leur corps nu en contact, il pouvait sentir son odeur, sa chaleur. Il aimait cela, il aimait ce regard, il aimait le contact de sa main avec ses cheveux. mais ce qu'il aimait le plus, c’était ce simple geste. Un mouvement de la tête vers l'avant de sa part, et leur lèvres rentrent en contact.

Et la, le réveil. Pour une autre journée comme les autres. Une simple journée ou je devais m'occuper encore de papiers, de me déplacer en ville pour resoudres des conneries, de me déplacer pour voir des personnes que je vois juste par haine de l'ennui. j'ai beau revoir des personnes qui m'ont vu dans la même apparence physique que dans le rêve, je ne possède plus cette envie. Il y a beaux avoir de belles jeunes femmes partout, le regard que je leur portais autrefois n'est plus le même.
J'attends impatiemment seulement, 20 jours.
Seulement 20 jours.
Pour 3 nuits.

Invaders must die.




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Having someone close to me die from cancer.
Still not solving my family issues.
Still not solving my financial issues.
getting harder to stand the distance.
Guess you could say i'm having an stress breakdown.
Yet i just know i'll just get away with.
After all, good times gonna come, eh?

Twisted





Twisted, maybe.
Mad, maybe.
A Beast, we all are.
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We all have goals in our life.
some of us want to make something out of their life.
Some of them want to change a point of view,
Some of them want to change a situation.
But some of us just want to live.
Some of us just want to survive.
No ambition, no big goals or shit like that.
It's not only a question of having balls, it's a question of knowing what you want to do.
Some people won't feel that they actualy lived if they didn't change anything,
While others would be satisfied with living, plain living.
After all, as long as we're happy, it doesn't matter, you did what you had to do.
You may didn't change anything, but it's stupid to judge that, as long as you were happy.
Happy, or satisfied.
I won't be satisfied by that.
I don't have such a great goal.
But i won't even be satisfied of my life if i don't achieve that goal.
because we all have a life's meaning.
Sometimes just living is the meaning.
But it's not mine.
It's not about changing the world.
It's just that one goal.
then, only then maybe, i may achieve the Paradise circus.

I light a cigarette cause i can get no sleep



Because we need.
We need Violence.
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Did you already felt this need?
The need of making someone happy.
The need of simply talking to her.
The need of supporting her.
The need to be with someone.
did you already felt this way?
When you decided to change for someone.
When you decided to stop everything.
When you can't get no sleep.
I do now