Never thought i would had my body do something like that one day.
Not sleeping at all, always doing something, always fighting.
Against homework, against shit happening, against my own body, against my own mind.
I must admit, i'm surprised myself i could pull out myself to this extent. Always fighting, always, always. Maybe i'll end up actualy fighting against someone, with my fists and kicks. After all, even though i'm amazed by my ability to support all of this pressure, i can still act, and always am, otherwise, things won't change, simple logic. Yet, when thoses crashes happened, i thought that it was maybe time to rest, and I did, for a whole afternoon. I feel like my body is a robot, and my mind is purely human, or shall we say " too human" ? I can still remember how those words shocked me when they were used to describe me. Too human? Just fucking human.
But one thing for sure, i didn't came from heaven, nor hell, depending of the point of view. There are no such things as miracles, and again, we're just humans.
Things are annoying. Things are pissing me off. Things keep ticking me from behind.
Too much, THAT is too much. What i need aren't wings. What I need, are bigger fist.
This is such a drag. Keep going, keep going, fool.
Ce bruit, oppressant, nous a tous déjà énervé un moment ou l'autre. Répétitif, strident, il nous rappelle toujours qu'a n'importe quel moment, il y a une heure. Et savoir quel heure il est, c'est en être prisonnier. Passez une journée sans regarder une seule et unique fois l'heure. Si vous y mettez du votre, vous remarquerez déjà qu'en voulant éviter le contact visuel avec tout ce qui a un rapport avec l'heure, vous devriez vous cacher. L'heure est partout, il nous domine. Tout fonctionne en fonction de l'heure. La vie dépends de l'heure, elle est omniprésente. Pour voir quelqu'un, il faut une heure. Pour acheter et consommer, il faut une heure. Pour baiser, il faut une durée. On ne choisit pas notre temps, le temps lui même nous choisit. C'est pour cela que si vous le fuyez, il vous pourchassera. C'est normal après tout, on grandit dedans. on naît, et on a une heure. Difficile de s'en échapper.
Tick tock, tick tock.
Il se leva, et au lieu de se frayer un chemin parmi tout les autres êtres gisant sur le sol, il balaya tout sur son chemin d'un coup de pied. Tick tock, il prit le réveil entre ses mains, et comme pour se libéré intérieurement, il le fracassa contre le mur, de son poing.
Un fou? Non. Un visionnaire? pas du tout. Un simple réaliste. Un simple réaliste qui en as marre de dépendre d'autre chose que lui même. Un simple réaliste qui prône la liberté a l’état pure.
Un des êtres se leva a son tour, main dans la masse capillaire apocalyptique, les yeux a moitié couverts, essayant de discerner qui avait réalisé ce carnage. De son autre main il redressa ce qui couvrait son sexe.
"P'tain, qu'est-ce qu'il se passe?"
L'autre ne répondait pas. Il se contentait de sortir une cigarette et de l’allumer. il inhala un grand amas, et le recracha. il s’était affalé sur le canapé, la tête en l'air, laissant son corps nu a la vue de tous. Assis comme un conquérant, comme si rien ne pouvait l'atteindre.
Celui qui venait de se lever regarda autour de lui, avec beaucoup de mal. Il se décida a imiter l'autre présence en s'appropriant lui même sa clope. En recrachant sa première bouffée, il était mieux réveillé. C'est que la qu'il remarqua la trace rouge sur le mur. Une trace rouge sombre sur un mur rouge pale. En baissant la tête, il remarqua le réveil, détruit, recouvert lui aussi d'une trace rouge. Sachant a qui il avait a faire, il se retourna, et compris.
" Mec, pourquoi t'as fait ça?"
Sans bouger de la tête, en continuant a fixer le plafond, l'autre lui répondit:
"Fait quoi?
- Pourquoi t'as niqué le réveil? Tu vois pas qu'en plus tu t'es niqué la main?
- Ramène moi un bandage, et je t'expliquerais, comme d'habitude.
- Comme d’habitude, peut-être, mais tu as tellement souvent des attitudes tellement...
- Ramène ce putain de bandage."
Il s’exécuta. Il fouilla dans la cuisine qu'il connaissait si bien, même si il était pas chez lui. Il avait l'habitude de vivre dans cet appartement, qui officiellement deux personnes y habitent, mais officieusement c'est trois. A force d'y passer sa vie la bas, il considérait l'endroit comme sa propre maison, et il dormait avec la colocataire de celui qui avait besoin des bandages.
Il retourna dans la chambre ou les deux habitants étaient. L'homme était toujours sur son canapé, la tête fixant le plafond, clope au bec, tandis que la jeune femme elle gisait dans la le lit.
Il se rapprocha de son comparse blessé, et s'agenouilla pour le soigner:
"Ça te plais de faire ça?
- Euh, pas vraiment, mais si personne ne le fait, ce serait mauv...
- Ça te plais de faire ça oui ou non?
- euh, non
- ben le fait pas merde. je t'apprends quoi depuis une éternité? Dis ce que tu pense, fais ce que tu sens, mais bordel arrête de toujours m’obéir!"
Just look me into my eyes. Look at me. I dare you to say that i'm wrong. ____________________________________________________
Last night I had a dream about you In this dream I'm dancing right beside you And it looked like everyone was having fun the kind of feeling I've waited so long
Don't stop come a little closer As we jam the rythm gets stronger There's nothing wrong with just a little little fun We were dancing all night long
The time is right to put my arms around you You're feeling right You wrap your arms around too But suddenly I feel the shining sun Before I knew it this dream was all gone
Ooh I don't know what to do About this dream and you I wish this dream comes true
Ooh I don't know what to do About this dream and you We'll make this dream come true
Why don't you play the game ? Why don't you play the game ?
Daft Punk - Digital Love
Comme le décrit si bien cette musique, il nous arrive a tous d'avoir des rêves de ce que l'ont pourrait qualifier de "niais". Mais qu'est-ce que la niaiserie? Personnellement je trouve que c'est un mot qu'on a crée par ego pour rabaisser une chose qui nous arrive a tous, mais que l'ont assume pas. pourtant on le veut, au plus profond de nous, ressentir cela.
Apres tout, n'est-ce pas parfait? Un simple acte de la personne avec qui on possède certains sentiments pour nous faire sourire. C'est facile et très souvent gratuit.
Comme le décrit si bien ce morceau de Daft Punk, il m'est arrivé d'avoir un certain rêve, ou je partageais une scène complètement banale avec une certaine personne, dont le réveil fut tout simplement construit d'une grande déception.
Une simple scène, ou il était simplement sur le martela qui lui sert de lit, allongé sur le dos, l'ordinateur a coté de lui, une cigarette dans ma main, et elle a coté, avec pour seul moyen de recouvrir son habit naturiste un drap. Pour seul moyen de se couvrir, il porte un short déboutonné qui couvre a moitié son sexe. Il fait noir, et dans cette noirceur on ne voyait que la lumière rouge de la cigarette qui se consumait. La seule chose qu'on entendait, c’était leur respiration. De ses yeux rouges il fixait la fumée qui se dégageait de ce tube de plaisirs toxiques. Il fixait cette fumée, mais ne pensait qu'a ces mots:
This is the prime time of my life.
Elle gesticula, et lui passa son bras gauche sous le corps de celle qui l'accompagnait en ce moment. Il la tenait, comme un geste pour la protéger, ou plutôt comme pour réaliser qu'elle est bien la. Recrachant le dernier amas de fumée du tube, il écrasa cet objet dans son cendrier pour finalement connecter son regard a la sienne. Leur corps nu en contact, il pouvait sentir son odeur, sa chaleur. Il aimait cela, il aimait ce regard, il aimait le contact de sa main avec ses cheveux. mais ce qu'il aimait le plus, c’était ce simple geste. Un mouvement de la tête vers l'avant de sa part, et leur lèvres rentrent en contact.
Et la, le réveil. Pour une autre journée comme les autres. Une simple journée ou je devais m'occuper encore de papiers, de me déplacer en ville pour resoudres des conneries, de me déplacer pour voir des personnes que je vois juste par haine de l'ennui. j'ai beau revoir des personnes qui m'ont vu dans la même apparence physique que dans le rêve, je ne possède plus cette envie. Il y a beaux avoir de belles jeunes femmes partout, le regard que je leur portais autrefois n'est plus le même.
It's quite surprising i got theses when i'm suposed to have a break,
Guess that means it's not really easy to break from your chains, yet you can temporary free yourself from some.
It's getting hard to not be able to sleep. Being able to sleep is a sign to show that you're at peace.
Yet i'm not, i have my Stress.
The power he has over mine, his authority, his blood,
Stress of the beggining of adulthood, responsability.
Stress of still fearing what moves he reserves.
It all goes down to Pain.
The Fear of pain is understandable because of it's variety.
There is Pain, and there is pain.
People are not really afraid of death, they're either afraid of not living enough, or of the pain of dying. And because there are so many ways of feeling pain, this is why we fear it.
Cut, a punch, a dislocated arm, or ripping an arm. each method has it own intensity of dose.
And surely because there is corporal pain, and moral pain.
We don't realise how much feeling without pain is good until it strikes.
And then, when it's constantly here, you can get used to it, but you can't forget it's here.
It's all connected. Everthing is connected.
My pain, due to my stress and moral pressure, caused my insomnia.
And my insomnia helps me wonder about usefull or unusefull things.
Now the sun is rising, and here i am, laying down on my matress, with my earphone and a smoke, writing and stuff, passing time.
Planning of what i'm going to do when people will wake up.
One thing that I know, is that there will be the same fucking everyday fight with him.
So why not releave our stress, spent our accumulated energy to punch.
it's one way to ease ourselves.
You can mindlessly fight someone, not to show who's the strongest, just to ease yourself.
Just don't fuck things up.
Or you could stress out being with the one,
Sadly she's not there.
I don't have any shame to admit it, it's hard to live without her after this one week.
I can still remember that morning, or should i say afternoon,
after a wild party, after a night with a new found friend and old ones.
One call, and anger mixed up with tears flowed into me.
Knowing that there's worse won't solve things up, all you have to do is fight back.
First of all, grab a smoke, pour me some coffee, and let's on with it.
I am what they call theses days somebody who's more into "open relationships", in other words, someone who never settles downs, like a nomad. This was my lifestyle for one whole year. Being free of the rules than a relationship cast upon you is great. Nothing to justify, no jealousy, no nothing. For one year, i could feel it, who much i was free from what everybody around me searches for. It's not that it's not my style, it's just how I feel. This once and forever rule of union wasnj't made for me, and it still isn't. Each person has it's own caracteristics. You can easly guess them but analysing them, or simply talking to them. You might find some friendly, but be aware of what you actualy generaly talk about, you'll realise there's no depth in it. Be aware of what you might call love, you can be mistaken so easly. Be aware, you might be able to throw out your life for someone, and it's not actual love. It's a strong bond. There, we're getting to the main point. What's the difference between a Strong Bond and love? In love, there's also sexual attraction. But you can fuck with a strong bond, you just have to be very mature to support it. Complicated yeah i know. But after all, aren't humains, the race knowed as the one who likes to complicate things up? if not fuck it up? Actualy, the wrong part, the SO human part of all this, is the wish to label everything, everyone. Why not rely only on feelings? What do you feel in yours guts? I have to admit, this is how i realised, after a long time getting to know her, when she asked me clearly if she was important to me, that yes, she is. And this week and a half i spent with her in paris could only tell me that it's true, i can say it. I love her.
- Meetin'g Tommy Tea and Alexis from Death Crew 77, smoking some weed with them. We just couldn't realise it, but it was true.
- one hour before the gig, they saw us, they went towards us and shoke our hands.
- The gig... just wow. I just can't write more than this, besides that it will be carved into my memory forever.
- after the gig, the fucking backstage. We sat, we drank, we smoked with them.
- then saying good bye
During this night, i couldn't think of anything, there was no need to think, to waste time, only because
I didn't lost myself,
I had found myself
And it couldn't have been better without you. It was good, real good. Sharing this gig with you, or thursday night, with Sam, Katie Georgina, emily, Caetan. I can only say that it was good, short, but good. Bruxxels summer time, prepare yourself.
I just realised that my life, since i got here in france, was always concerned with those words. Since i've arrived, i've always aimed for action, may it be good or bad. I just never wanted to be bored, and i never got. It may have happened, but i just don't remember those periods. That's what essential. Enjoy, remembering that i'm alive.
It's funny
Remembering that i'm alive, as if i doubted my existence.
I am alive.
I feel it.
People feel it.
People will remember. Not Eternally, but they will.
I am restless, i need my action.
This is why i fear it.
The only two thing i ever and will ever fear: dying too young, and not being able to move anymore.
Seems like i'm going to suffer typo 2.
Seems like i'll have the same thing that my mother suffers.
20 years she is constantly suffering from it.
Bones.
The back.
It started for me. 4 days the constant pain is striking me.
it was a big surprise, but i have to admit it. If i'm going to be like my mother, i can't.
She started at 30, if it happens, i'll start at 18.
More than a group. a Rythm. Every beat, is a movement, my own beat. Every single words, are simple yet true words. " I Just want". That's it, i just want it, no further explanation needed. Simple life for a complex organism. Every beat, is a way of flowing. Awesome, Cornelius, Warp 1.9, Warp 7.7, Anacletus, Theolonidus ( King Vodoo), Dimmakmmunication, Public Enemy, 2nd Streets have No Name, We are From Venice, Domino and finaly...Warp 1977.
One
Two
THREE
MOTHERFUCKER
Simple as that, no sweat. This is just another world. Another world comming into ours. Or surely it's juste me listening to it that way. I've never been that much into a group. It's amazing. I don't consider Sir Bob Cornelius Rifo a god or whatsoever, but i do realise that he is mad skilled. He didn't made that sound "just for me", he made it for him, and for the world. I just feel it my own way, and it's worth an orgasm.
A place, A sound
A Getaway.
A place? Corum's roof. Wind. Smoke. Being only a human being dominated by the sky.
The Sky
Skies of desire.
a Sound? Cornelius, We Are From Venice, Warp 1977
1977.
A special number for me now. And Now what? I'm going to share this special moment with someone special. So special that she bears the title of Strong bond. Fuck it Shana. This is going to blow.
Someone finds salvation in everyone And another only pain Someone tries to hide himself Down inside himself he prays Someone swears his true love Until the end of time Another runs away Separate or united? Healthy or insane?
To be yourself is all that you can do
And even when you've paid enough, been pulled apart or been held up
With every single memory of the good or bad faces of luck
don't lose any sleep tonight
I'm sure everything will end up alright
You may win or lose
But to be yourself is all that you can do To be yourself is all that you can do
Okay, deuxième tentation a un article en Français, voyons ce que ca donne:
Est-ce si dur que cela d'être soi-même? Est-ce si dur de savoir comment on fonctionne? Non, ce ne l'est pas. Et pourtant, peu le sont, peu le savent. C'est si triste. Manque d'assurance. Manque de confiance. Peur. Paranoïa. Crainte. Changement. C'est Normal, c'est des étapes. Des simples étapes vers un but.
Un But
Toujours un but, même si on s'en rends pas compte. On peut en trouver partout. Un but peut même se trouver après avoir déjà commence d'entreprendre un certain chemin.Et pourtant, vous avez peur du changement.
Et quand un malheur vous tombe dessus, vous blâmez les autres.Les autres. Bien sur, même Sartre le disait, "l'enfer c'est les autres". Mais est-ce vraiment leur faute? Bien sur, c'est des facteurs, certainement même des raisons. Mais si on était différent a ce moment la, la conséquence n'aurait-elle pas changée? J'en doute absolument pas. Pas tout dépends de nous, mais nous sommes nos propres responsables.
Il t'a manipulée? Et si tu étais plus forte, plus sure de toi, cela n'aurait-il pas changer?
Et la on arrive a ceux qui blâment la bonne personne, ceux qui se blâment eux-même. Et ça veut pas changer, ca a peur, ca dis qu'on peut pas comprendre... D'accord. Tant que tu ne dise jamais, que t'es le seul a qui ca arrive et que ta vie est insignifiante.
C'est Idiot, je me donne a moi-meme mes propres conseils, histoire de toujours me rappeller comment je marche. Pas besoin d'un guide detaille pour savoir comment notre organisme moral fonctionne, mais quelques notes sont toujours de bon conseils.
Oui, bon, pour une fois, j'ecris en francais. je ne vais pas changer mes habitudes completement, c'est a dire pour les fautes, les accents et autres complexitees de l'ecriture francais, faites avec.
C'etait previsible apres tout. J'avais tout prevu, toutes menaces, toutes propositions. Et pourtant, le fait d'en arrive jusqu'a la, ca m'a quand meme destabilise. Et pourtant, je connaisais deja mes reponses. Prevoir c'est une chose, l'assumer s'en est une autre.Et je savais que j'allais encore une fois passer par une "crise". Des crises qui m'ont toujours impressionne, par l'effet que ca peut provoquer sur un corps, par le simple pouvoir de cette chose qu'on appelle le Cerveau. Et comme je l'ai toujours dis, " ne jamais sous-estime le pouvoir du cerveau". J'ai beau avoir des phrases pour tout, je ne les applique pas toujours, pour le simple fait que je ne pense pas.
Et je savais pas que j'irais aussi loin,
j'ai pourtant deja depasse mes limites avec les mots, et j'en garde une tres belle marque.
mais physiquement? je ne suis jamais alle TROP loin. Loin certes, mais jamais de trop. J'ai deja frapper avec l'intention de m'amuser, dans l'intention de faire du mal pour provoquer le regret des actes des autres, et tellement d'autres raisons. Je prends mon pieds a cela, faire du mal a certaines personnes. Russian roullette on pourrais dire, avec une grande dose d'egoisme. Mais la, j'en reviens pas...
Mais la reaction des gens m'impressionne. Une en a rapidement derive de la question, l'autre s'est inquiete sur mon etat juridique et ce qui pourrait m'arriver a cause de cela, et la derniere sur mon etat moral. Mais dans ce genre de situation, on a besoin d'une voix, pas d'ecrit. J'en ai donc parler a une personne que je connaisais a peine. Et elle m'a ete d'un grand support. Et elle m'en as parler des siens. Et 'est impresionnant ce qu'une personnepeut vivre. Surtout une si belle personne, si sympathique et fetarde. C'etait impresionnant. L'etre humain est impresionnant, aussi previsible et comprehensible qu'il est.
Merci Angie, Merci Caroline, Merci M.
Merci Shana...
This is just weird. French is just not my natural language. I doesn't matter how good i am with it, it's just not confortable, just not like myself. Evene if recently, i never felt "frenchier" than before, it's just too weird.
Oh well, now i got something to cheer up on. Like maybe...